«La peur et l'anxiété ne sont - que - la source de la religiosité humaine.» C'est une idée que David Hume a affirmée dans son analyse de la genèse des religions. Cependant, il a rencontré des réponses efficaces réfutantes, comme le voit le Dr Ghedan Al-Sayed Ali dans ses recherches. Il a pris cette idée dans une large mesure fausse. Là où la pensée constante de l'homme sur la création des cieux et de la terre, et son désir irrésistible de connaître le secret de l'univers, était l'un des motifs forts qui l'ont amené à croire en l'idée du Créateur.

L'importance de cette recherche réside dans son alignement critique avec la vision de Hume sur l'origine et l'émergence des religions, leur développement et leur ascension. Pour clarifier les lacunes et les lacunes qui ont entaché son traitement des questions religieuses, en expliquant ses contradictions dans ces cas, qui ont été soulevés par un revendicateur qui était conscient de leur vérité et explorant leurs profondeurs.

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La philosophie de David Hume (1711-1776) est principalement un produit naturel de la pensée anglaise dominante à son époque, qui وavait tendance à acquérir des connaissances avec le sens et l'expérience, et était une extension de la philosophie de Locke (1632-1776) qui a vu que l'esprit est une page blanche, et l'expérience est celle qui va au-delà Ses lignes là-dessus, c'est-à-dire qu'il lui fournit toutes les connaissances et toutes les idées.Il s'opposait ainsi aux rationalistes qui disent que l'esprit a des idées innées indépendantes de toute expérience, soulignant qu'il n'y a rien de disponible en dehors de l'expérience, et donc de sa conception par un groupe de perceptions. George Berkeley (1685-1733) qui a poussé l'empirisme plus loin que Locke en rejetant la conception de ce dernier de l'essence matérielle et en utilisant l'empirisme au service d'une philosophie spirituelle métaphysique.

Hume a appelé, à travers son système philosophique expérimental, à rejeter toutes les vérités qui ne sont pas soutenues et soutenues par l'expérience, et à décrire les idées qui ne viennent pas par l'expérience comme de fausses idées, «nos pensées ne vont pas au-delà de notre expérience» [2] ; Autrement dit, il commence à construire sa position sur les questions religieuses à partir de perspectives purement cognitives. Comme il avait un sentiment profond de l'impulsion de l'esprit dans ce qu'il fait des inférences dans le champ de l'expérience, et qu'il n'avait aucun espoir d'atteindre une connaissance fixe de tout ce qui ne suivrait pas la méthode expérimentale, cette approche qu'il avait suivie auparavant dans ses études en éthique, politique, histoire et économie. Il contient du bien dans le domaine de la théologie et de la religion [3] . Par conséquent, la philosophie de Hume ne peut être enracinée sans mettre en évidence son influence, en tant qu'étudiant à Edimbourg, des théories d'Isaac Newton, et sa forte influence également sur l'école expérimentale britannique à travers la philosophie de Locke, Shaftsbury, Mandeville, Hutchison et Joseph Pottler qui ont suivi leurs approches de la philosophie et de l'éthique. Rester les philosophes les plus éminents qui ont adopté la doctrine expérimentale et ont essayé de développer à travers elle une philosophie expérimentale cohérente.

En plus de l'empirisme, Hume a été influencé par les recherches de Samuel Clarke (Samuel Clarke 1675-1729) sur la religion, en particulier sa recherche «preuve de l'existence et des attributs de Dieu», dans laquelle son auteur a conclu le contraire de ce qu'il voulait terminer. Cette recherche, ainsi que la réaction agressive au calvinisme élémentaire, qu'il a embrassé dans sa jeunesse, a été l'une des choses les plus importantes qui l'ont empêché d'être un homme religieux. Il a également été touché par les luttes des siècles précédents, entre catholiques et protestants, puis entre monothéistes et ceux qui nient la révélation. Par conséquent, il n'était pas étrange dans son étude de la religion qu'il soulevait des doutes plus que les réponses qu'il suggérait, et admet qu'il est incapable de résoudre certains des problèmes qu'il considérait comme non soumis à une solution humaine.

Dans le même contexte, Hume a défini dans son approche des questions religieuses à partir de sa méthode expérimentale, à travers laquelle il questionnait - à travers - les axiomes de la raison, détruisait la métaphysique, et considérait que tout ce qui n'est pas conforme au standard de l'expérience sensorielle doit être jeté au feu. Par conséquent, il a établi sa philosophie de la religion similaire à sa conception de la morale. C'est-à-dire basé sur la nature humaine de l'être humain, ses désirs et ses interactions sociales. Il a également traité de la croyance religieuse non pas en termes de sincérité et de vérité, ni en termes d'exclusion de l'existence d'un dieu ou de la possibilité de cela, mais du point de vue du besoin de croyance plus que du besoin de ce que l'on croit ou non [4] . En conséquence, c'est parmi ces chercheurs qui ont regardé la genèse de la religion avec une vision évolutive, c'est-à-dire qu'elle est née avec la certitude que les religions en général sont l'œuvre de l'homme, et que l'idée de Dieu existait dans les premières sociétés sous la forme de croyances qui émergeaient soit des individus, soit du groupe. Ainsi, il se tient dans la rangée opposée pour ceux qui ont vu que l'idée de Dieu ou de religion en général est une idée innée, trouvée dans l'esprit de l'homme, et il l'a créée en nous qui est plus élevée, car la religion a pour eux une réalité extérieure qui est Dieu, qui est une réalité séparée de la communauté mais de l'univers tout entier et distincte de lui, Celui qui nous a inculqué l'idée de Dieu. En somme, l'idée de Hume de «Dieu» et des religions en général était basée sur l'idée du développement dans les années de l'humanité et de ses lois sociales. Dans cette recherche, cette idée est disséquée afin de fournir une image critique de tous ses aspects.

L'importance de cette recherche réside dans le fait qu'elle prend une position critique sur la théorie de Hume sur l'origine et l'origine des religions, leur développement et leur ascendant. Clarifier les lacunes et les lacunes qui ont entaché son traitement des questions religieuses, en expliquant son objectivité, ses préjugés et ses contradictions dans ces affaires, qui ont été soulevées par un revendicateur qui a dissimulé leur vérité et en a exploré les profondeurs. Afin de traiter correctement ce sujet, la recherche a été divisée en une introduction, cinq thèmes et une conclusion. Le présentateur souhaitait faire la lumière sur les sources dont Hume tirait sa pensée et a montré l’importance du sujet, les justifications de ses recherches et les méthodes de recherche utilisées pour les mener à bien. Le premier axe traitait de manière critique de la vision de Hume sur «l’émergence et le développement des religions», tandis que le deuxième axe est venu lui dire que «le paganisme est une religion» Le premier axe traite de l’humanité "de manière critique, tandis que le troisième axe tend à réfuter ses affirmations sur" l’émergence du monothéisme du paganisme ", tandis que le quatrième axe est venu discuter de" la dialectique de l’intolérance et de la tolérance religieuse entre pluralisme et monothéisme ", tandis que le cinquième axe traitait de la vision de Hume du" pluralisme et unification entre courage et humiliation " ». Quant à la conclusion, elle est venue saisir les résultats les plus importants qui ont été atteints.