TEXTE ecrit en arabe par la grande écrivaine Algérienne : Ilham BOURABA
Traduit au Français par : Ahmed Khettaoui
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Ce qu'on gaspille pour le trépas ..
Succède les vestiges des mots ..
Et leurs tourments .. ..
C'est bien l'ultime art de destruction
L'espoir de l’écrivain épicurien, Jubilatoire est à bout du souffle
.. .Semble crucifié
Par circonstances linguistiques. appropriées ..
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Au seuil de bab el kantera, j"ai commis tant d'erreurs ..
Où j'avais appris ce que "EL BAB " peut diffuser à ce monde là
Pourquoi j'ai quitté à rebours ou ferveur : Bab el kantara ?
Pourquoi je l'ai vidé , rapidement .
Comme si j'avais peur de la mort ?
Car le pont demeure toujours jovial et vaillant ...
Le voilà encore attentif ..
fulgurant ...
Ombré de sa rémanence
Convainquant l'air par sa conviction ..
Tandis que moi
je ne cessais de proclamer mon souhait en t’écrivant ..
je tentais aussi te rédiger ma propre missive créative ..
Sache que je t'aime. Ce n'est par désir , envie
d'amuser ..ou jouer au raisonnement enfantin ..
Moi je chante où le plus grand nombre essaim d'oiseaux dansent dans leur détention
J'affirme , hautement,et en toute fierté , que seule ma Vertu amènera mon ingéniosité talentueuse au sommet de mon trophée littéraire .. créatif ..entant qu’écrivaine !!!
Et pour te faire part et te confirmer , encore que se qui est passé , ne reflète pas ma volonté . Mais c’était un reflet relatif à ce que je ressenti profondément dans mon for intérieur ..
et c’était ta vive et forte émotion ! hantant ma pensée, mon esprit et le tien ..
des reflets se révoltèrent devant moi . émotionnellement . comme si tu surgis encore tel un propriétaire à qui je suis servante ....
Alors que je ne t'appartiens nullement ..fermement ..
en sifflant les bougies du passé d'un octogénaire .
ـJ"aurais bien aimé que tu puisses m'accorder ton absolution ,ton pardon et ta clémence ..
afin de te refléter, ultérieurement; ;.
à mon levant , à mon avenir ..
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il me semble ; difficile que les gens puissent accommoder tous liens de leurs tiens
,Mais moi ;; contrairement ; je t'ai eu parallèlement en force , au tournant .et au premier lieux !!!
est ce tu sentais que ton cœur t" étouffas ?
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